Une industrie qui veut reprendre du poil de la bête

Une industrie qui veut reprendre du poil de la bête

Les producteurs ovins du Québec sont généralement forcés de jeter la laine de leur bête, par dépit.

Parce qu’il n’y a rien de mieux à faire avec cette laine piquante, malodorante et sale, sous-produit de l’agneau que l’on mange ou de la brebis que l’on trait pour faire du fabuleux fromage.

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